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  • Nous sommes deux français, Amandine et Mathieu, partis pour un tour du monde.
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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 00:23

Au petit matin nous nous sommes échappés de notre cellule du "Paradis". Nous aurions mieux fait de tourner un peu dans le village avec nos sacs à dos pour trouver quelque chose de plus confortable. Nuit blanche pour Amande, elle est HS : l’environnement, Mathieu pas douché, ses affaires mouillées qui puent et ses ronflements auront eu raison de son sommeil !

Nous prenons un bus pour Tegucigalpa. La route nous laisse déjà entrevoir des différences par rapport au Nicaragua. Paysage montagneux couvert de pins. Les abords des routes sont beaucoup plus propres. Ils conduisent plus vite, moins de klaxon et la ligne continue se transforme souvent en voie de dépassement.
Arrivés au terminal du bus, nous demandons au "secretaria" du bus où trouver un autre bus pour rejoindre le centre ville. Il nous répond que seuls le taxis qui rodent autour deservent le centre. Ils demandent 100 Lempiras (Lp) pour la course qu'ils baissent à 80 Lp mais nous partons tout de même chercher un bus.
Nous en trouverons un à 100m... On se doutait que le secretaria nous prenait pour des jambons... 4Lp le trajet par personne !
Le trajet dans la ville est à son image : chargé et tortueux. La ville évoque à Mathieu des airs d'Alger pour son aspect désordonné et entassé. Difficile de trouver une cohérence dans cet enchevêtrement. La ville parait plus plaisante que Managua selon Mathieu.
Nous partons en quête d'une chambre. Après quelques visites nous nous posons à l'hospedaje Metropolitan. Les prix de l'hébergement et de la nourriture sont plus élevés qu'au Nicaragua. Après une sieste pour l'une et une lessive pour l'autre (si si, on a de l'eau mais pas potable !), chacun ses urgences, nous partons faire un petit tour dans la ville.

Tegucigalpa 004 Tegucigalpa 005

En arrière plan une ribambelle de militaires.

Beaucoup de militaires et des grilles devant toutes les boutiques. A la pulperia, c'est toujours derrière une grille que nous parlons à la vendeuse !

Nous voyons aussi nos premiers flingues glissés dans le pantalon.
Dommage, nous n'avons pas de cuisine. Se reposent les questions de où et quoi manger. Il nous faudra sans doute quelques jours pour trouver nos marques.
Ce pays apparaît dans toutes nos recherches comme difficile pour les backpackers.
A suivre. On pense y passer 2 semaines.

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commentaires

M
Cet article a une taille de police beauuuucoup plus agréable à lire que la précédente... si vous pouviez continuer comme ça...<br /> Bon séjour et bonnes découvertes dans ce pays où l'ambiance a l'air bien différente !...<br /> Bises de Domi et moi
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